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La séance va s'achever et comme d'habitude, j'ai bien chauffé Nadine, mains baladeuses qui s'aventurent sous la robe à la recherche de la frontière entre bas et peau. Comme d'habitude nous nous sommes installés à l'écart du public, il ne faut pas le dire mais nous faisons des choses après.

Ce n'est pas venu comme ça, Nadine est un peu plus âgée que moi, 4 ans c'est énorme pour elle, comme moi elle est divorcée, comme moi ex cocue, nous nous connaissions bien et nous nous sommes toujours apprécié durant notre vie maritale, je connais bien sa fille, nous nous sommes épaulés lors de la destruction de nos anciennes vies. J'ai voulu vite devenir son compagnon ce qu'elle a toujours refusé, elle a invoqué tous les raisons pour se refuser à moi. Et un soir il y a 6 mois comme ce soir au cinéma elle s'est donnée, ce fut une surprise que je consomme depuis chaque fois qu'elle en exprime le besoin . Je prends ce qu'elle me donne, je ne me pose pas de questions, j'ai reveillé en elle des désirs qu'elle peut assouvir avec moi discrètement. Nous avons une passion commune pour le 7ème art, plutôt que de parler du film après nous baisons.

Elle est contre moi à l'approche de ma voiture, et quand je lui ouvre la porte côté passager, elle s'y terre à toute vitesse, je la conduis vers le lieu de nos ébats nocturnes. Nous échangeons les premiers baisers, je cherche ses seins, elle caresse ma poitrine, ce n'est pas la peine de chicaner, bien qu'elle se refuse à l'admettre, elle meurt d'envie de se faire prendre. Jamais elle n'a accepté de se montrer en public avec moi d'une manière autre qu'amicale, jamais d'hôtel, juste une à deux fois par mois après le cinéma dans ma voiture.

Elle recule son siège et moi le mien, c'est moi qui baisse mon pantalon et mon caleçon, nous échangeons à nouveau des baisers, mais sa main est déjà occupé à me branler doucement, j'ai fait échapper ses seins de son soutien gorge, nos langues s'emmêlent. J'abaisse mon siège, et elle se baisse pour m'emboucher.

Délicieuse brûlure quand sa bouche se referme sur mon vit. elle est merveilleuse dans ce nouvel exercice pour elle, voilà un soir elle était gênée par ses petits ennuis féminins,  devant ma déception de ne pas pouvoir la prendre, elle s'est lancée dans,  j'ai ainsi pu découvrir qu'il n'y a pas d'âge pour apprendre à gâter superbement les hommes.

Nadine me suce et moi ma main relève sa robe, écarte sa culotte, mes doigts s'occupent à préparer la suite. Elle est trempée, elle ne l'avouera jamais c'est une femme qui aime le sexe, et pourtant comme pour moi ce fut la cause de nos divorces, enfin l'une.

Mon sexe est en fusion au maximum de ses possibilités, elle s'écarte, prend un préservatif dans la boîte à gants qu'elle déploie de main de maître sur mon mât. C'est une solution qui nous a semblé nécessaire, bien sûr les MST sont là et rendent nécessaire l'usage du condom, mais aussi pour des raisons pratique  pour nos rencontres automobiles.

Je tourne la molette qui transforme son siège en couchette, elle défait les derniers boutons de sa robe et retire sa culotte, je l'enjambe, elle me guide en elle.Trois poussées ponctuées  de cris de souffrance apparente et me voilà enfoui en elle, ses cuisses m'entourent, ses mains m'emprisonnent, nous échangeons des baisers, je peux commencer mon lent travail de sape pour l'amener vers le septième ciel. Je la remplis, ses cris emplissent mes oreilles, je ne me lasse jamais d'entendre une femme jouir, cela m'a trop manqué. Consciencieusement je plonge en elle sur ce rythme régulier qu'elle aime, ses orgasmes sont ma récompense, ma délivrance arrivera plus tard, c'est comme un combat, mais je veux contenter toutes mes partenaires, je renais à chaque victoire.

C'est elle qui me demande de venir, mon éjaculation pourtant freinée par le latex déclenche un dernier soupir, il est temps de vivre ce moment misérable de la fin du coït, quand je reste bloqué sur mon siège alors qu'elle a déjà repris son allure de bobonne quinquagénaire. Elle me fait une rapide toilette avec un kleenex, il est temps de la ramener à son automobile, elle me quitte sans un baiser, je vais jusqu'à la prochaine séance reprendre mon rôle de voisin parfait afin qu'elle conserve son image d'ex épouse bafouée au-quelle elle tient par dessus tout.