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Elle s'appelle Annick, elle a 35 ans, divorcée comme moi et mère de trois enfants, c'est la fille de connaissances, je la connais depuis longtemps, nos récents divorces nous ont rapprochés, son expérience dans ce domaine m'a été utile.

J'aime bien sa volonté de redemarrer dans la vie, ellle croque les hommes, ses plans culs réguliers ou intermittents comme elle dit, mais rien n'est facile quand on est seule avec trois enfants.

Elle fait partie de mon association et comme elle s'est embrouillée avec son plan cul du moment c'est moi qui la ramène chez elle, elle m'invite à venir prendre un verre tout en pestant contre Alex qui a été particulièrement gougeat ce soir.

Pour une fois qu'elle n'avait pas ses petiots, elle voulait s'amuser. Là voilà après m'avoir servi un verre qui disparait dans sa salle de bains, il a fait chaud.

Et là, à son retour, j'ai eu un coup de sang pour sa belle robe blanche décolletée, magnifiquement transparente à contre jour. Je découvre une femme sexy avec beaucoup de sex appeal, un soutien gorge et une culotte blanche complète sa tenue, je vois tout à coup une lourde poitrine envoutante. Nous sommes proches sur son canapé, trop proches sans doute, les verres se multiplient, l'athmosphère a changé, nous parlons sexe et désir féminin, un grande découverte récente pour moi. J'ai envie d'elle et quand je la prends dans mes bras alors qu'elle me regarde droit dans les yeux, elle ne fuit pas, ses lèvres trouvent les miennes, mos langues se choquent, se découvrent s'entrecroisent. ma main court sur son corps, elle démarre au quart de tour quand j'écarte la bretelle de sa robe, un à un  je défais les boutons, Sa poitrine est merveilleusement lourde et pleine, j'ai peiné sur le soutien gorge, je manque encore de pratique. C'est elle même qui retire ses dernières defense, la culotte prend le même chemin que la robe et le soutien gorge. C'est à moi de me déshabiller et nus comme Adam et Eve nous finissons enlacer sur le canapé Il fait chaud dans la pièce et dans nos coeurs. Je m'aventure sur son corps, gobant un sein, caressant un ventre, explorant un pubis, ma langue descend vers son sexe que je veux découvrir et préparer à la suite. Le goût d'une femme me revient en bouche, un goût perdu mais pas oublié, mon cunnilingus l'emporte vers des sommets, ses mains plaquées sur mes cheveux m'encouragent à continuer.

Plus tard quand je présente le bout de mon mât à l'entrée de sa grotte, je n'ai aucune difficulté à m'introduire, Je navigue en elle me concentrant sur ses cris et ses demandes, retenant mon souffle pour retardder ma jouissance. Annick geint, un murmure entrecoupé de cris violents, un chant qui me fait revivre, je plonge en elle pour rattraper tout ce temps perdu, pour me rappeler que je suis un homme. Alors qu'épuisé, je gis sur le lit, elle disparait un court instant pour revenir rafraîchi et un verre dans chaque main, elle se moque du petit papy épuisé mais qui lui a fait passer cependant un bon moment. La jeunesse ose tout, elle en redemande. En suis je capable? Oui Annick a pris les choses en main, je suis dans sa bouche, la fellation est exquise, y a t'il quelque chose de meilleurs sur terre comme plaisir, je suis vite en position travail, elle se couche m'entrainant sur elle, cuisses bien écartées reposant sur mes avants bras. Elle veut le saigner le papy, je reparts à la conquête de ses orgasmes, plus sûr de mon endurance, je peux varier les cadences, la force de mes assauts, je l'écoute, je veux préceder ses désirs, notre deuxième coït sera long, sublime, je redécouvre la joie d'éreinter une femme sous moi. Plus tard nous finirons la nuit enlacer épuisés par notre rencontre.

Vers 7 heures, beaucoup trop tôt à mon goût, c'est elle qui me reveillera, son ex va lui ramener ses enfants je dois partir, tant pis j'aurais bien pris un câlin en plus d'un café, mais je parts heureux, j'ai reçu l'appélation PQR (plan cul régulier) signe de futures étreintes passionantes.